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À la Une

Sri Lanka

l’EPU au fil des minutes

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La réaction d’Action contre la Faim

 

Les propositions les plus critiques ont été rejetées par le Sri Lanka, en particulier celles qui se rattachent à la coopération avec les procédures spéciales, celles qui appellent à la ratification du Statut de Rome ou des protocoles additionnels de Genève…

 

En rapport avec le massacre de Muttur, les propositions de la France n’ont pas été acceptées par le Sri Lanka. c’est une grande déception mais cela démontre une fois de plus l’absence totale de volonté politique du gouvernement de faire toute la lumière sur le massacre.

 

Durant la conférence de presse qui a suivi l’adoption du rapport, Benoît Miribel, président d’ACF, a surenchéri en déclarant : « Cette enquête est une suite d’obstacles, d’ingérences du politique dans le processus judiciaire, et ce sans parler du manque de transparence et d’indépendance. Il n’y a pas eu de réel changement durant ces 6 dernières années. »

 

 

 

L’envoyé spécial du Sri Lanka pour les Droits de l’Homme, le ministre Mahinda Samarasinghe, a déclaré que le Sri Lanka allait envoyer une liste d’engagements volontaires au Secrétariat des Droits de l’Homme des Nations Unis dans les deux semaines à venir. Il a également déclaré que son gouvernement informerait l’ONU de l’évolution de l’après-guerre au Sri Lanka.

 

via thesundayleader.lk

 

Bernard Savage, Ambassadeur et Chef de la Délégation de l’Union Européenne au Sri Lanka et aux Maldives a déclaré que nombre d’efforts devaient encore être fournis : « Ces questions n’ont pas été correctement résolues. Il y a d’autres cas de disparitions qui n’ont pas été traitées de manière satisfaisante. C’est un dossier qui nécessite encore bien des éclaircissements, et les coupables doivent être traduits en justice ».

 

via colombopage.com

 

Yolanda Foster, d’Amnesty International a fait part de sa déception, déclarant qu’« une culture de l’impunité persiste au Sri Lanka ».

 

 

 

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