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Près de neuf mois après le début de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’ouest, la communauté internationale semble enfin avoir pris la mesure de la situation et des décisions appropriées. Il ne fait plus de doute désormais qu’un traitement précoce et adapté augmente les chances de survie, pourtant les pays touchés, confrontés à de trop nombreux défis ne sont plus en mesure de faire face à l’ampleur de l’épidémie. Action contre la Faim (ACF) rappelle qu’il est de la responsabilité de la communauté internationale de renforcer l’efficacité de la réponse.
Cette crise est aujourd’hui d’une « ampleur sans précédent » car elle a été trop longtemps sous estimée. De plus, une réponse lente, la faible coordination et le manque de préparation des zones initialement épargnées ont exacerbé des crises sanitaires et socio-économiques dans les trois pays.
Les Nations Unis, comprenant que l‘épidémie menace désormais la paix et la sécurité internationale déploient une mission en charge du traitement des personnes infectées, des services de première nécessité et de la stabilisation de la région dans le but de freiner l’épidémie. En Guinée, au Libéria et en Sierra Leone, les autorités ont en effet du mal à contenir la propagation de la maladie, notamment à cause de l’impuissance des systèmes de santé et de l’escalade de la peur au sein de la population et du personnel médical.
ACF se félicite que la communauté internationale ait récemment pris des engagements pour résoudre la crise et soutenir les gouvernements des trois pays les plus touchés et elle demande que :
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