Votre navigateur internet n'est pas à jour.
Si vous souhaitez visionnez correctement le site d'Action contre la Faim, mettez à jour votre navigateur.
Trouvez la liste des dernières versions des navigateurs pris en charge ci-dessous.
Aucun résultat ne semble correspondre à ce que vous recherchez, veuillez modifier votre recherche.
Au-delà des déplacements, la population est victime de violations de droits humains, parmi lesquelles des exactions, des violences sexuelles, enlèvements, assassinats, torture, recrutement forcé d’enfants soldats, disparitions ou détention arbitraires.
Le conflit et les opérations militaires impliquent que les terres, fleuves et lacs, qui sont les moyens de subsistance de la population, sont inaccessibles. Les marchés ont fermé et les moyens de transport comme les motocyclettes ont été interdites, privant les gens de leur mode de vie.
Les enfants sont les plus vulnérables dans les situations d’urgences humanitaires. La violence dans cette zone a obligé plus d’1 million de mineurs à fuir leur maison et à abandonner l’école. Beaucoup d’entre eux ont été victimes d’attaques et ont vu leurs amis et famille se faire assassiner sous leurs yeux. La communauté internationale ne peut pas rester impassible face à une telle souffrance.
La réponse à cette situation est extrêmement compliquée, puisque le conflit s’éternise et que les niveaux de violence sont très élevés. Action contre la Faim et d’autres ONG comme Oxfam et Save the Children se sont unies pour informer sur la réelle dimension de cette crise. Nos organisations, témoins depuis le terrain, appellent les institutions et particuliers à se mobiliser pour débloquer des fonds qui permettront de répondre aux besoins de l’urgence humanitaire, et d’interpeller la communauté internationale pour trouver une solution de fond au conflit et apaiser la région.